1624, photographies Roland Spannagel, montage T.M.
Roland m'a envoyé ces photos dans l'espoir qu'elles m'inspirent. Ce fut gagné. Mais il y en a trop, il me faudra des années pour en tirer l'inattendu esthétique qui doit jaillir de ce qu'elles m'apportent: un chaudron bouillant d'admiration - de ceux qui fabriquent et de ceux qui organisent -, d'émerveillemnt même - quels ciel ! Et la Moselle, cette grande magicienne -, de tristesse - où sont passés les marécages et leurs grenouilles -, de larmes - on ne cesse de jouer à donner et à retirer le travail ici-, d'angoisses - ca va recommencer - et de rage - l'impuissance de la condition modeste -. J'aimerais que mes abstractions vous parlent au cœur de tout cela, mais sans un mot, sans un seul mot, juste l'ombre, la lumière et les géométries insisissables qui se contrarient. Il m'est difficile d'ignorer l'un ou l'autre de ces clichés, aussi je vous les fait partager T.M.
1625, Usinor 1
1626, Usinor 2
1627, Usinor 3
1628, Usinor 4
1629, Usinor 5
1630, Usinor 6
1631, Usinor 7
1632, Usinor 8
1633, Usinor 9
1634, Usinor 10
1635, Usinor 11
1636, Usinor 12
1637, Usinor 13
1638, Usinor 14
1639, Usinor 15
1640, Usinor 16
1641, Usinor 17
1642, Usinor 18
1643, Usinor 19
1644, Usinor 20
1645, Usinor 21
1646, Usinor 22
1647, Usinor 23
1648, Usinor 24
1649, Usinor 25
1650, Usinor 26
Fin de la page Ciel d'Acier.